lundi 27 août 2012

Sarah mène sa fraise au soleil !

Ça y'est c'est les vacances !
Vous les avez surement prises pendant que j'écrivais des bêtises sur Internet, maintenant c'est mon tour !

RDV le 17 septembre pour un post gorgé de soleil !

A très vite (même place, même pomme.... euh non, fraise !)

jeudi 23 août 2012

Sarah joute des explications !

Pour moi les ponts du 14 juillet et du 15 aout c'est comme les madeleines pour Proust , ca me rappelle des souvenirs d'enfance . En général, les reunions de famille se passaient dans le sud et en général, autour d'un plat de beignet . Depuis quelques années c'est parfois delocalisé dans le sud ouest mais les tables sont toujours aussi longues et les beignets sont toujours là . Certains sont absents, mais les enfants de mes cousins sont venus remplacer les enfants que nous étions . Telle une longue lignée qui ne s'arrêterait jamais . On peut alors se poser des questions : quand est née la tradition? Qui l'a créée ? Souvent je me pose la question pour les expresions, attardons nous donc sur quelques expressions de vacances et essayons d'en trouver l'explication et l'origine.

1. Prendre un coup de soleil
Alors cette expression n'est utile que l'été , ça s'est sûre , mais est-elle antérieure ou postérieure à la chanson de Cocciante, c'est un peu la question qu'on se pose tous . Pour ce qui est du mot "coup" on comprend mieux son sens lorsqu'on enfile une chemise le lundi matin pour aller au boulot. Nos épaules brûlées souffrent , on retrouve la même sensation que lorqu'on était enfant et encore on a plus de cartable , c'est déjà ça de gagné.

lundi 20 août 2012

Sarah nime l'esprit d'équipe (Acte 2)


Aujourd'hui, Soso a pris goût à l'ecriture et elle ramène de nouveau sa fraise, pour notre plus grand plaisir.


« J’y pense et puis j’oublie, c’est la vie c’est la vie » … et ben je peux vous assurer qu’une fois que vous aurez écouté Lianne La Havas, vous s’rez pas prêt d’l’oublier !! 

Expatriée à Buenos Aires depuis quatre mois, je porte les trois pauvres pantalons (j’en ai perdu deux qui ont rétréci à la laverie, je vous passe l’anecdote) et quatre tee-shirts à rayures (oui parce que les rayures c’est mon truc) que j’avais pris le soin d’emporter (parce qu’à l’époque c’était mes préf’), et ben plus ca va moins je peux les « encadrer » ! 

Problème : 1/ Les argentins ont cru qu’on vivait toujours dans les années 90’ : pantalons informes, textures « has been », couleurs outrageusement mêlées, chaussures orthopédiques,  imprimé léopards en veux-tu en voila, et la mythique coupe de cheveux de Maradona leur Dieu invétéré « courts sur les cotés, volume sur le haut du crâne et petite queue derrière s’il-vous-plait »… Ca vous parle ?  
 2/ Non seulement ca donne pas envie, mais c’est affreusement cher. Résultat : j’ai abandonné l’idée de m’acheter quoi que ce soit qui se rapproche de près ou de loin à ce qui peut ressembler à des fringues. Ce qui pour moi : Amoureuse de shopping, flâneuse, dénicheuse de bonnes affaires, est irrésistiblement difficile à vivre !

jeudi 16 août 2012

Sarah lume la lumière

Je crois que la phrase qu’on a dit le plus depuis le début de l’été c’est « putain quel temps de merde », au mieux sans le « putain » pour les plus polis d’entre nous !

Non mais c’est vrai, on a l’impression que le ciel nous fait une grosse blague et le pire quand on lit les articles spécialisés, c’est que ça pourrait durer. Enfin bon, vu qu’ils ont du mal à prévoir le temps du lendemain, j’ai du mal à leur faire confiance pour plus longtemps !

Je ne sais pas vous mais en tout cas moi, j’irai bien m’installer à l’étranger, je suis donc en train d’étudier les différentes possibilités

lundi 13 août 2012

Sarah joute des étoiles dans les yeux !


« C’est pas un crime de porter une pastèque ? »
Non c’est sur, mais ça en serait un de ne pas se souvenir que cette réplique est issue du film culte Dirty Dancing, du moins pour toutes les filles nées entre 75 et 85.

Je crois bien, que nous, les filles de cette époque, avons toutes un point en commun, nous adorons les films un peu cul-cul qui montrent des jolies filles et des beaux garçons en train de danser !

Je me souviens, quand j’étais plus jeune, j’allais tout le temps voir ce genre de films avec ma sœur au ciné. Pendant 1h30 on se plongeait dans une autre réalité, une réalité faite de pas de danse, de musique et de rythme. Une réalité faite de rêves réalisés et d’ambitions assumées.

jeudi 9 août 2012

Sarah plique pas toujours quand on veut !

Quand j’étais petite, j’ai toujours entendu parler du mariage. Je devais avoir 8 ans pour la brit mila de mon frère qu’on devait déjà me dire « à ton mariage ma fille ». Mais pour moi le mariage c’était comme gravir l’Everest, une expérience lointaine, exceptionnelle, qu’on fait une fois dans sa vie mais qui la change à jamais.

A 15 ans, j’étais plutôt en mode : « moi je me marierai à 25 ans, j’aurai mon premier enfant à 26 et 4 avant mes 35 ans », comme si la vie pouvait marcher comme un retroplanning d’agence de com’, qu’est-ce qu’on peut être naïf quand on est ado. Ensuite, y’a eu la période où mes copines commençaient à se marier, pour moi c’est là où on commence à vraiment imaginer sérieusement et concrètement qu’un jour peut-être, ce sera notre tour. On se dit alors que notre robe sera plus comme ça, notre fiancé moins comme ça…etc. En mode courses au Père Noël, sauf que comme vous le savez, le Père Noël n’existe pas.
Alors, quand on approche de la trentaine sans la moindre idée du nom du fiancé qu’il y aura sur le faire part, on relativise un peu l’idée du mariage et du conte de fée. Et surtout, surtout, quand on arrive à ce stade-là, qu’on le vive bien, ou moins bien, il y a des phrases qu’on ne peut/veut plus entendre

En voici un petit BEST OF :
1."C’est quand on s’y attend le moins que ça arrive"

lundi 6 août 2012

Sarah mène l'esprit olympique !

Quand j’ai commencé à écrire ce blog, je me suis dit que je n’allais pas parler d’actualité. Il y en a suffisamment qui la commentent avec talent pour que j’y mette mon grain de sel. Cependant il y a des actualités qui nous retournent, nous émeuvent, et prennent une place très importante dans nos vies de tous les jours.

C’est le cas cet été des JO. Une fois tous les 4 ans seulement, ils se font, pour le moins qu’on puisse dire, remarquer. J’aime l’idée que tout un peuple s’accorde à se rassembler derrière ses sportifs pour les supporter et les encourager à donner le meilleur d’eux même. C’est peut être des bons sentiments, mais c’est beau et intense !

Et vendredi, pour ceux qui étaient sur une autre planète et qui l’ont raté, nous avons assisté à un moment historique à un stade autrement plus universel que le stade sportif. Presque plus fort que la médaille d’or qu’il a réussi à arracher sur le 50 mètres nage libre, Florent Manaudou nous a offert un moment d’émotion rare. Comme un passage de témoin entre lui et sa sœur, Reine passée et Roi à venir de la natation française, une étreinte extrêmement touchante entre un frère et une sœur. Personnellement, tel un chamallow au contact d’une flamme, j’ai fondu. Elle avait l’air si fière de lui !

jeudi 2 août 2012

Sarah cole à droite, à gauche et surtout au milieu !

Parfois quand je ne vais pas très bien, que je n'ai pas le moral, je n'ai qu'une envie : me retrouver en tête à tête avec elle. Je la prends alors dans mes bras, et pendant que je lui gratte le ventre elle me murmure des notes douces à l'oreille ... Non je n'ai ni changé mon blog en blog érotique ni viré ma cuti, je vous parle seulement de ma guitare.

C'est vrai que la guitare,elle n’exige rien de nous et, en retour, on n'exige rien d'elle. Pour une soirée, un petit moment ou plus longtemps, tout ce qu'on lui demande c'est d'être juste.

Et si au fond c'était ce que l'on demandait aussi aux mecs ?

Si l'on voulait seulement qu'ils adoptent le ton juste entre le trop mielleux "ma chérie " et le trop froid silence ? Et non, aussi merveilleuse qu’une femme puisse être, elle en peut pas vous manquer quand vous la connaissez depuis 24h…