Ce matin j’écoutais Mazarine
Pingeot parler de son nouveau livre « la dictature de la transparence »
sur France inter (oui encore France inter, ça y’est maintenant c’est ma radio,
et même quand Patrick Cohen est en vacances). Elle évoquait les risques de la
surexposition, des réseaux sociaux, et de cette « Injonction de montrer ce
qu’on a au fond de notre âme ».
Pour ma part je l’aurais appelée « la
dictature de la vérité », celle qu’on va chercher chez l’autre à tout
prix, même quand il n’a pas envie de nous la livrer.
En langage plus courant on
appelle ça : tirer les vers du nez (ouais c’est moins classe qu’injonction,
mais bon c’est plus parlant).