Est-ce justement ce Ciel qui
influerait sur notre état journalier ?
Est-ce LUI qui ferait que nous
sommes irritable, bougon, en-dedans… ?
Mais qu’en est-il dans ce cas-là
de notre libre arbitre ? Ne devrions-nous pas prendre notre destin en main
et ne pas subir ce déterminisme de l’humeur ? Est-ce qu’être libre ce
n’est pas faire ce que l’on veut de sa vie, de son temps, de ses journées et
donc de ses matins ?
Mais surtout suffit-il de le
vouloir pour le pouvoir ?
Suffit-il de décider d’être gaie, comme nous l’explique Justine Levy dans son livre, pour y arriver ?
Je me pose un peu la question …
(oui un peu, juste ce qu’il faut).
Surtout que parfois cette gaité
vient à nous sans effort…
A contrario, d’autres matins, nos
épaules, toujours les mêmes, sont plutôt enclines à bouger au gré de notre cadence
intérieure, de notre baume au cœur. Elles iraient même jusqu’à faire la fameuse
danse nommée après elles. (Oui si je veux, je parle de la danse l’épaule dans mon
billet)
Vous voyez les matins dont je
veux parler ? Ceux dont on a l’impression que rien ne viendra les gâcher.
Ceux qui nous soufflent du vent dans le dos et qui nous posent des étincelles
au fond des yeux. Ceux qui nous
accrochent des ailes dans le dos (oui si je veux, je peux aussi citer Cloclo)
Et si on se levait en voulant
très fort qu’il s’agisse d’un matin comme ça ! Si on essayait de tout
occulter et qu’on décidait d’être heureux !
L’appétit vient en mangeant,
pourquoi n’en serait-il pas de même avec le bonheur, et si lui aussi, il venait
en étant content ! Ça donnerait un truc du style : « le bonheur
vient aux contents »
Enfin bon, vous vous en doutez je
n’invente rien…. Les philosophes ont tous réfléchi au bonheur et aux bonheurs… peut-être
même qu’en les relisant (ou en les lisant, ne soyons pas présomptueux), on
trouverait les clés de ces matins enchantés.
Allez, venez on essaye ce matin…
commencez simplement à balancer une épaule, le reste pourrait bien venir tout
seul !
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