lundi 13 août 2012

Sarah joute des étoiles dans les yeux !


« C’est pas un crime de porter une pastèque ? »
Non c’est sur, mais ça en serait un de ne pas se souvenir que cette réplique est issue du film culte Dirty Dancing, du moins pour toutes les filles nées entre 75 et 85.

Je crois bien, que nous, les filles de cette époque, avons toutes un point en commun, nous adorons les films un peu cul-cul qui montrent des jolies filles et des beaux garçons en train de danser !

Je me souviens, quand j’étais plus jeune, j’allais tout le temps voir ce genre de films avec ma sœur au ciné. Pendant 1h30 on se plongeait dans une autre réalité, une réalité faite de pas de danse, de musique et de rythme. Une réalité faite de rêves réalisés et d’ambitions assumées.


Moi quand j’ai vu Dirty Dancing pour la première fois, j’ai voulu partir en village vacances apprendre le mambo et tomber amoureuse de Johnny. Quand j’ai vu Save the Last Danse j’ai voulu aller dans un collège qui craint, parler en verlan et me mettre au hip hop. Quand j’ai vu Sister Act 2 j’ai voulu entrer dans une chorale gospel et danser avec mes potes dans une compétition de chant et de danse. Sauf que bon ça n’aurait pas été avec des bonnes sœurs parce que je suis juive !

Et quand j’ai vu la danse de Rabbi Jacob, ben non j’ai pas voulu devenir rabbin, j’ai voulu aller rue des rosiers manger un fallafel plutôt. Ça fait pas le même effet sur la balance !

En tout cas, tous ces films qui mêlent danse et histoires d’amour ou histoires d’amitié, ont une chose en commun, ils nous font croire, au moins le temps d’une séance de ciné, que tout est possible et qu’à force de travail et de persévérance, on peut y arriver. A quoi me direz-vous ? Et bien à tout : à vivre la vie dont on rêve , a briser les inégalités sociales, a vaincre nos plus vieux démons ... Et là encore , c'est peut-être mon côté midinette , mais dans in monde de crise et de chômage , c'est bon de rêver !

C’est sur, dans la vie, devenir un expert de la danse de salon, ça demande un peu plus de temps que les 10 minutes du film où il n’y a pas de paroles et où tu les vois s’entrainer à fond, mais ça c'est un détail et c'est la magie du cinéma .

Ce week end, je suis allé voir Sexy Dance 4 et ça m’a fait le même effet que quand j'étais ado, du coup avec les JO je me demande encore si je me lance dans une carrière de basketteuse ou de danseuse/flashmobeuse.



En tout cas, ce qui est sur, c’est qu’avec un prof comme Johnny de Dirty Dancing, aussi peu sportive que je sois, je crois que je pourrais devenir une grande championne de mambo en moins de deux... Pas vous les filles ?

2 commentaires:

  1. Ouai c'est pas le cas pour tout le monde, yen à qui avant 21 ans n'ont pas de culture!...
    Moi aussi j'ai vu sexy dance4 ... Dimanche soir........

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  2. Bon Sarah tu pourrais etre planneuse, c'est plein de insights tout ca!

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